Lors du conseil de Paris j’ai défendu l’ordonnance de 1945, issue du Conseil National de la Résistance, sur la protection des mineurs, mise en cause par la garde des sceaux.
J’ai réaffirmé clairement la primauté de l’éducatif sur le répressif et la philosophie de l’ordonnance de 1945 : un jeune qui commet un acte de délinquance est avant tout un enfant en danger qu’il faut protéger. La justice des mineur.e.s ne doit pas se rapprocher de celle des majeur.e.s.